Les condylomes sont des verrues génitales qui se développent sur les organes génitaux.
Les hémorroïdes sont des veines situées dans la région anale et péri-anale. Elles peuvent être très douloureuses et provoquer des saignements. Ces deux affections sont difficiles à traiter, mais il existe des solutions pour les soigner.
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Le condylome est une lésion précancéreuse du col de l’utérus
Le condylome est une lésion précancéreuse du col de l’utérus.
Il s’agit d’un papillomavirus humain qui touche principalement les femmes jeunes, et plus particulièrement celles ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples. Ce virus peut se transmettre par contact direct ou indirect : par exemple, le partage d’une brosse à cheveux utilisée pour frotter la vulve, le vagin ou le pénis contre la bouche, le sexe ou les parties génitales d’un partenaire infecté.
Les personnes qui ont déjà eu des verrues génitales ont un risque accru de contracter ce virus à nouveau pendant la vie adulte.
Le diagnostic repose sur l’observation au microscope de taches blanches très irrégulières sur la muqueuse du col utérin (lésions « condylomata acuminata »).
Le traitement consiste en l’application locale d’acide trichloracétique (TCA) à 10 %, suivie d’une application topique de 5% d’imiquimod (pour les femmes).
La durée totale du traitement est habituellement de 8 semaines.
Il est causé par le papillomavirus humain (HPV)
L’infection à papillomavirus humain (HPV) est une infection transmissible sexuellement qui touche la peau et les muqueuses de l’organisme. Elle cause des verrues génitales, le cancer du col de l’utérus ou de la vulve et du vagin chez certaines femmes, et des condylomes sur les organes génitaux masculins chez d’autres.
L’infection à HPV se propage par contact direct avec les parties génitales d’une personne infectée ou par contact avec des objets contaminés.
L’infection à papillomavirus humain est causée par le papillomavirus humain, un virus qui affecte souvent les organes génitaux féminins et masculins. Un nombre croissant de données indiquent que ce virus est également lié aux cancers du col utérin, de la vulve et du vagin ainsi qu’à certains types de cancers ORL.
Le risque de cancer augmente chez les personnes ayant eu plusieurs partenaires sexuels au cours d’une même année ou celles ayant eu plusieurs partenaires au cours d’une même vie sexuelle (partenaires occasionnels).
Les hommes sont également touchés par ce type de cancer, mais dans une proportion beaucoup moindre que celle des femmes.
- Les personnes atteintes ont souvent tendance à ne pas savoir qu’elles sont porteuses du virus.
- Une grande partie des infections à HPV disparaissent sans causer trop de problèmes.
- Les infections persistantes peuvent provoquer un dysfonctionnement reproducteur.
- Il existe actuellement un vaccin entièrement efficace contre le papillomavirus humain.
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Les femmes ayant des rapports sexuels à haut risque sont plus susceptibles de développer un condylome
Les condylomes sont des excroissances causées par le virus du papillome humain (VPH).
Les condylomes sont généralement bénins, mais peuvent être douloureux et provoquer des démangeaisons.
Il existe plus de 100 types différents de VPH. Tous les types de VPH ne provoquent pas de condylomes. On estime que 80% à 90% des personnes qui contractent un type de VPH développent des condylomes. D’autres facteurs incluent les antécédents familiaux, le sexe, l’âge et la durée d’une relation sexuelle avec une autre personne infectée.
Les femmes ayant des rapports sexuels à haut risque sont plus susceptibles de développer un condylome que les hommes ayant des relations sexuelles occasionnelles ou ne pratiquant pas la monogamie.
Les femmes enceintes et les jeunes filles qui ont eu un rapport sexuel oral non protégé avant l’âge de 15 ans courent également un risque accru.
Le condylome peut être traité par des médicaments ou par une procédure chirurgicale
Pour traiter les condylomes, il existe deux méthodes : la première consiste à utiliser des médicaments, tels que le Zovirax ou l’Acyclovir. Pour les personnes très sensibles aux effets secondaires du Zovirax, une autre solution est envisageable : l’intervention chirurgicale. Dans ce cas-là, un dermatologue peut effectuer une cautérisation au laser ou à la cire pour détruire les condylomes.
La cautérisation permet de détruire les cellules cancéreuses en cautérisant la surface du tissu affectée par le virus.
La prévention du condylome est possible grâce à la vaccination contre le HPV
Le virus du papillome humain (HPV) est un virus qui provoque des condylomes.
Il peut être transmis par contact sexuel, ce qui signifie que la prévention de ce virus consiste à éviter les contacts sexuels. On peut se protéger contre le HPV en se faisant vacciner contre ce virus.
La vaccination contre le HPV est particulièrement importante pour toutes les personnes ayant des partenaires multiples ou ayant eu plusieurs partenaires au cours de l’année précédente. Pourquoi? Parce que c’est une infection sexuellement transmissible très répandue et qu’elle peut provoquer des verrues génitales chez certaines personnes. Cette infection se transmet aussi bien lors d’un contact direct (fellation ou pénétration vaginale) que via le sperme ou les sécrétions vaginales dans le cas d’une relation anale non protégée.
Les femmes enceintes doivent donc prendre toutes les précautions nécessaires pour ne pas contracter ce virus, notamment en utilisant un préservatif lors de relations anales non protégés et en évitant d’avoir des rapports anal-vaginal car il existe un risque de transmission du HPV aux bactéries intestinales.
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Les femmes atteintes de condylome doivent être suivies par un gynécologue
De nombreuses femmes atteintes de condylome ignorent qu’elles ont contracté cette infection.
Le virus du papillomavirus humain peut se transmettre lors des rapports sexuels vaginaux, anaux ou oraux.
La transmission par voie génitale est la plus courante et est favorisée par une mauvaise hygiène intime ou un partenaire sexuel qui ne se protège pas.
L’infection est souvent asymptomatique, ce qui explique que de nombreuses personnes ne sont pas au courant qu’ils en sont porteurs.
Les premiers symptômes d’une infection à HPV sont les suivants : démangeaisons vaginales, écoulement blanchâtre et douleurs pendant les rapports sexuels. Ces symptômes peuvent être confondus avec ceux d’autres affections bénignes telles que l’herpès génital, la mycose ou le lichen plan.
Il faut donc consulter un médecin pour obtenir un diagnostic précis et éviter des complications telles que le cancer du col de l’utérus et celui du vagin.
Les condylomes peuvent-ils provoquer des cancers?
- Le risque de développer un cancer après une infection à HPV est particulièrement faible.
- Il existe toutefois certains types de virus pouvant causer des cancers chez certaines personnes.
Le condylome est une lésion bénigne mais peut évoluer vers un cancer du col de l’utérus si elle n’est pas traitée
Les condylomes sont des lésions bénignes mais peuvent évoluer vers un cancer du col de l’utérus. C’est pourquoi il est important d’être suivi par un médecin, et en particulier au début de la contamination, afin que les lésions soient retirées le plus tôt possible.
Les condylomes se présentent généralement sous forme de petites verrues sur la vulve ou sur le pénis.
Ils apparaissent souvent à cause d’un manque d’hygiène ou suite à une irritation.
Les condylomes ne peuvent pas être transmis par autre personne, ce qui signifie qu’il n’y a aucune possibilité de contagion. Toutefois, si vous partagez votre brosse à toilette avec quelqu’un qui a des condylomes, il existe un risque de transmission du virus HPV 6 et 11 (lorsque les verrues se trouvent sur le pénis).
Le virus HPV 6 est responsable d’environ 80 % des cas de verrues génitales chez la femme ; cependant, sa capacité à provoquer des cancers est assez faible.
Le virus HPV 11 est responsable quant à lui d’environ 20 % des cas de verrues génitales chez l’homme et représente donc un risque plus important pour eux ; cependant, son potentiel cancérigène est plus élevé que celui du virus HPV 6.
Pour conclure, les condylomes sont des verrues génitales provoquées par le papillomavirus humain (HPV). La plupart du temps, ils sont inoffensifs et peuvent disparaître d’eux-mêmes en quelques mois. Si elles ne disparaissent pas d’elles-mêmes, il est possible de les détruire en utilisant des crèmes ou des médicaments.